Permis de Construire ou Permis d’Aménager

Le Permis de Construire et le Permis d’Aménager font l’objet d’un formulaire commun.

Les renseignements à fournir et les pièces à joindre à la demande sont différents en fonction de la nature du projet.

Si votre projet comporte à la fois des aménagements, des constructions et des démolitions, vous pouvez choisir de demander un seul Permis et d’utiliser un seul formulaire.

Un Permis de Construire sera exigé pour les constructions de logements collectifs (les villas jumelées font également l’objet de cette demande), d’exploitation agricole ou encore d’établissement recevant du public.

Un Permis d’Aménager sera notamment exigé pour :

  • la réalisation d’opération d’affouillement (creusage) et exhaussement (surélévation) du sol d’une profondeur ou d’une hauteur excédant 2 mètres et qui portent sur une superficie supérieure ou égale à 2 hectares (soit 20 000 m²),
  • la création ou l’agrandissement d’un terrain de camping permettant l’accueil de plus de 20 personnes ou de plus de 6 tentes, caravanes ou résidences mobiles de loisirs ou habitations légères de loisirs,
  • la réalisation de certaines opérations de lotissement.

Votre dossier devra être déposé en Mairie en 5 exemplaires. Le délai d’instruction est de 3 mois dans le cas où votre dossier est considéré comme complet par l’administration.

Qu’est-ce qu’un CDD d’insertion (CDDI) ?

Le contrat à durée déterminée d’insertion (CDDI) est un contrat ouvert aux personnes au chômage et rencontrant des difficultés sociales et professionnelles particulières. Nous vous présentons les informations à connaître.

    Il faut prendre compte si vous avez 50 ans ou plus ou si vous êtes handicapé.

    Le CDDI est signé pour une durée minimale de 4 mois (sauf si vous avez fait l’objet d’une condamnation et bénéficiez d’un aménagement de peine).

    Le contrat est renouvelable dans la limite d’une durée totale de 24 mois.

    Il peut toutefois être renouvelé au-delà de 2 ans pour permettre d’achever une action de formation professionnelle en cours de réalisation à la fin du contrat.

      Le CDDI est signé pour une durée minimale de 4 mois (sauf si vous avez fait l’objet d’une condamnation et bénéficiez d’un aménagement de peine).

      Le contrat est renouvelable dans la limite d’une durée totale de 24 mois.

      Il peut toutefois être renouvelé au-delà de 2 ans pour favoriser votre insertion.

      La prolongation est accordée par France Travail (anciennement Pôle emploi) après examen de votre situation.

        Le CDDI est signé pour une durée minimale de 4 mois (sauf si vous avez fait l’objet d’une condamnation et bénéficiez d’un aménagement de peine).

        Le contrat est renouvelable dans la limite d’une durée totale de 24 mois.

        Il peut toutefois être renouvelé au-delà de 2 ans pour favoriser votre insertion.

        La prolongation est accordée par France Travail (anciennement Pôle emploi) après examen de votre situation.

          La durée minimum de travail du salarié est fixée à 20 heures par semaine.

          Elle peut varier sur tout ou partie de la période couverte par le contrat, sans dépasser 35 heures.

          À savoir

          Vous pouvez, durant son contrat, bénéficier d’une période de mise en situation professionnelle chez un autre employeur.

          Vous percevez une rémunération au moins égale au  Smic  ( 1 801,80 € par mois).

          Vous pouvez demander la suspension du CDDI dans les cas suivants :

          • Faire une évaluation en milieu de travail prescrite par France Travail (anciennement Pôle emploi)

          • Effectuer une action concourant à votre insertion professionnelle (toutefois, vous devez obtenir l’accord de votre employeur)

          • Accomplir une période d’essai liée à une offre d’emploi visant une embauche en  CDI  ou en  CDD  d’au moins 6 mois.

          En cas d’embauche suite à l’évaluation en milieu de travail ou suite à la période d’essai, le CDDI est rompu immédiatement. Il n’y a pas de préavis.

          Le CDDI peut être rompu avant son terme, à votre demande, pour vous permettre de suivre une formation conduisant à une qualification. Dans ces conditions, au regard des droits à l’assurance-chômage, la rupture est considérée comme une démission légitime.