Permis de Construire ou Permis d’Aménager

Le Permis de Construire et le Permis d’Aménager font l’objet d’un formulaire commun.

Les renseignements à fournir et les pièces à joindre à la demande sont différents en fonction de la nature du projet.

Si votre projet comporte à la fois des aménagements, des constructions et des démolitions, vous pouvez choisir de demander un seul Permis et d’utiliser un seul formulaire.

Un Permis de Construire sera exigé pour les constructions de logements collectifs (les villas jumelées font également l’objet de cette demande), d’exploitation agricole ou encore d’établissement recevant du public.

Un Permis d’Aménager sera notamment exigé pour :

  • la réalisation d’opération d’affouillement (creusage) et exhaussement (surélévation) du sol d’une profondeur ou d’une hauteur excédant 2 mètres et qui portent sur une superficie supérieure ou égale à 2 hectares (soit 20 000 m²),
  • la création ou l’agrandissement d’un terrain de camping permettant l’accueil de plus de 20 personnes ou de plus de 6 tentes, caravanes ou résidences mobiles de loisirs ou habitations légères de loisirs,
  • la réalisation de certaines opérations de lotissement.

Votre dossier devra être déposé en Mairie en 5 exemplaires. Le délai d’instruction est de 3 mois dans le cas où votre dossier est considéré comme complet par l’administration.

Recherche de paternité

Un enfant souhaite établir un lien de filiation avec celui qu’il pense être son père (qui n’est pas marié avec sa mère) ? Il doit effectuer une action en recherche de paternité. La procédure s’effectue devant le tribunal. Si l’enfant est mineur, cela peut avoir des conséquences sur l’exercice de l’autorité parentale, la contribution du père à l’entretien et à l’éducation de l’enfant et le nom de l’enfant.

    L’action en recherche de paternité permet à un enfant d’établir un lien de filiation avec celui qu’il pense être son père.

    L’action en recherche de paternité est effectuée par la mère si l’enfant est mineur.

    Elle agit au nom de son enfant.

    Toutefois, le tuteur de l’enfant le représente dans les cas suivants :

    • Décès de la mère

    • Impossibilité pour la mère de manifester sa volonté

    • Absence de filiation maternelle établie

    L’action peut être exercée à l’encontre du père prétendu.

    S’il est décédé, l’action peut être exercée à l’encontre de ses héritiers.

    S’il n’a pas d’héritiers ou s’ils ont renoncé à la succession, elle peut être exercée à l’encontre de l’État (en la personne du procureur de la République).

    La mère peut agir pendant la minorité de l’enfant.

    Pour déclencher l’action en recherche de paternité, il faut s’adresser au tribunal judiciaire du lieu de résidence de la personne à l’égard de laquelle l’enfant cherche à faire établir un lien de filiation.

    Où s’adresser ?

     Tribunal judiciaire 

    L’assistance d’un avocat est obligatoire.

    Où s’adresser ?

     Avocat 

    La recherche de paternité est impossible dans les cas suivants :

    • Inceste absolu (entre père et fille, mère et fils, frère et sœur)

    • Filiation paternelle déjà établie

    À savoir

    si un autre père figure sur l’acte de naissance de l’enfant (présomption de paternité du mari de la mère ou reconnaissance), il faut d’abord contester ce lien et en obtenir l’annulation. Aucune contestation n’est possible en cas d’adoption plénière.

    La preuve de la paternité peut être apportée par tous les moyens (témoignages, lettres du père présumé à la mère, etc.).

    Le juge peut ordonner une expertise génétique (test de paternité) qui nécessite l’accord des personnes concernées.

    Le refus de s’y soumettre peut être interprété par le juge comme un aveu de paternité ou, selon le cas, de non paternité.

    À savoir

    une expertise sur une personne décédée est interdite sauf si le défunt avait donné son accord de son vivant.

    Si le tribunal accepte la demande, le lien de filiation s’applique depuis la date de naissance de l’enfant (il est rétroactif).

    L’enfant obtient tous les droits liés à la filiation (succession notamment).

    Le tribunal peut aussi décider sur les sujets suivants :

    • Autorité parentale

    • Contribution du père à l’entretien et à l’éducation de l’enfant

    • Nom de l’enfant

    À savoir

    Les actes d’état civil doivent être mis à jour.

    L’action en recherche de paternité permet à un enfant d’établir un lien de filiation avec celui qu’il pense être son père.

    L’action en recherche de paternité est réservée à l’enfant majeur qui cherche à faire établir un lien de filiation avec son père prétendu.

    L’action peut être exercée à l’encontre du père prétendu.

    S’il est décédé, l’action peut être exercée à l’encontre de ses héritiers.

    S’il n’a pas d’héritiers ou s’ils ont renoncé à la succession, elle peut être exercée à l’encontre de l’État (en la personne du procureur de la République.

    L’enfant peut agir jusqu’à l’âge de 28 ans.

    À noter

    Le juge peut accepter d’aller au-delà s’il estime que des circonstances précises le justifient.

    Pour déclencher l’action en recherche de paternité, il faut s’adresser au tribunal judiciaire du lieu de résidence de la personne à l’égard de laquelle l’enfant cherche à faire établir un lien de filiation.

    Où s’adresser ?

     Tribunal judiciaire 

    L’assistance d’un avocat est obligatoire.

    Où s’adresser ?

     Avocat 

    La recherche de paternité est impossible dans les cas suivants :

    • Inceste absolu (entre père et fille, mère et fils, frère et sœur)

    • Filiation paternelle déjà établie

    À savoir

    si un autre père figure sur l’acte de naissance de l’enfant (présomption de paternité du mari de la mère ou reconnaissance), il faut d’abord contester ce lien et en obtenir l’annulation. Aucune contestation n’est possible en cas d’adoption plénière.

    La preuve de la paternité peut être apportée par tous les moyens (témoignages, lettres du père présumé à la mère, etc.).

    Le juge peut ordonner une expertise génétique (test de paternité) qui nécessite l’accord des personnes concernées.

    Le refus de s’y soumettre peut être interprété par le juge comme un aveu de paternité ou, selon le cas, de non paternité.

    À savoir

    une expertise sur une personne décédée est interdite sauf si le défunt avait donné son accord de son vivant.

    Si le tribunal accepte la demande, le lien de filiation s’applique depuis la date de naissance de l’enfant (il est rétroactif).

    L’enfant obtient tous les droits liés à la filiation (succession notamment).

    À savoir

    Les actes d’état civil doivent être mis à jour.

    L’action en recherche de paternité permet à un enfant d’établir un lien de filiation avec celui qu’il pense être son père.

    Quand l’enfant est décédé, l’action en recherche de paternité est réservée à ses héritiers (par exemple, ses enfants).

    L’action peut être exercée à l’encontre du père prétendu.

    S’il est décédé, l’action peut être exercée à l’encontre de ses héritiers.

    S’il n’a pas d’héritiers ou s’ils ont renoncé à la succession, elle peut être exercée à l’encontre de l’État.

    Si l’enfant était lui-même parent et est décédé avant ses 28 ans, ses héritiers peuvent agir à sa place avant l’expiration du délai dont il disposait initialement (10 ans à compter de ses 18 ans).

    Si le défunt avait engagé une action de son vivant, ses héritiers peuvent la poursuivre.

    À noter

    Le juge peut accepter d’aller au-delà de la limite de 28 ans s’il estime que des circonstances précises le justifient.

    Pour déclencher l’action en recherche de paternité, il faut s’adresser au tribunal judiciaire du lieu de résidence de la personne à l’égard de laquelle l’enfant cherche à faire établir un lien de filiation.

    Où s’adresser ?

     Tribunal judiciaire 

    L’assistance d’un avocat est obligatoire.

    Où s’adresser ?

     Avocat 

    La recherche de paternité est impossible dans les cas suivants :

    • Inceste absolu (entre père et fille, mère et fils, frère et sœur)

    • Filiation paternelle déjà établie

    À savoir

    si un autre père figure sur l’acte de naissance de l’enfant (présomption de paternité du mari de la mère ou reconnaissance), il faut d’abord contester ce lien et en obtenir l’annulation. Aucune contestation n’est possible en cas d’adoption plénière.

    La preuve de la paternité peut être apportée par tous les moyens (témoignages, lettres du père présumé à la mère, etc.).

    Le juge peut ordonner une expertise génétique (test de paternité) qui nécessite l’accord des personnes concernées.

    Le refus de s’y soumettre peut être interprété par le juge comme un aveu de paternité ou, selon le cas, de non paternité.

    À savoir

    une expertise sur une personne décédée est interdite sauf si le défunt avait donné son accord de son vivant.

    Si le tribunal accepte la demande, le lien de filiation s’applique depuis la date de naissance de l’enfant (il est rétroactif).

    L’enfant obtient tous les droits liés à la filiation (succession notamment).

    À savoir

    Les actes d’état civil doivent être mis à jour.