Je déménage, que faire ?
Vous arrivez à Veigy-Foncenex ou vous nous quittez, que faire ? Voici quelques pages qui pourraient vous aider.
Licenciement économique : qu’est-ce que l’allocation temporaire dégressive (ATD) ?
Quand une entreprise effectue des licenciements économiques, une convention d’allocation temporaire dégressive peut être conclue entre l’entreprise et l’État. Elle permet au salarié reclassé dans une autre entreprise à un poste moins bien rémunéré de limiter cette perte de salaire.
Quelles sont les conditions pour en bénéficier ? Comment cette allocation est-elle financée ? Pendant combien de temps peut-elle être versée ?
Nous faisons le point sur la réglementation.
L’ATD est une allocation versée conjointement par l’État et l’entreprise à un salarié licencié pour motif économique. Elle sert à compenser la différence de rémunération du salarié licencié et reclassé dans une autre entreprise à un poste moins bien rémunéré.
Dans les entreprises concernées par un plan de sauvegarde de l’emploi, l’allocation est une des mesures de ce plan.
- Convention d’allocations temporaires dégressives – Bulletin d’adhésion du salarié
Une convention est signée entre l’État et l’entreprise.
Le salarié qui souhaite en bénéficier doit y adhérer en remplissant le bulletin d’adhésion :
Le bulletin est à adresser à l’unité départementale de la Dreets .
Il n’y a pas de condition d’ancienneté.
Pour bénéficier de l’ATD, le salarié ayant adhéré à la convention devra se reclasser dans un délai maximum d’1 an à compter de la notification du licenciement.
Le poste de reclassement doit être dans une autre entreprise, en CDI , en CDD ou en contrat de travail temporaire d’au moins 6 mois.
Cette allocation servant à compenser une perte de revenu liée à un reclassement, le nouvel emploi doit entrainer une perte de rémunération.
Le montant de l’ATD est calculé forfaitairement. Son montant est évalué au moment de l’embauche dans le nouvel emploi.
Il prend en compte la différence entre l’ancien salaire net moyen perçu au cours des 12 derniers mois et le salaire net du poste de reclassement dans la nouvelle entreprise.
Le financement de l’ATD est assuré conjointement par l’entreprise et l’État. La participation de l’EÉtat ne peut dépasser un montant de 200 € par mois et par bénéficiaire.
Toutefois, si l’entreprise n’est pas en mesure de verser l’ATD, l’État prend en charge seul le versement de l’ATD. Le montant de cette participation peut alors être porté à 300 € .
Le versement de l’ATD, ainsi que la participation de l’État, sont limités à 2 ans.
- Code du travail : article L5123-2
Conditions - Code du travail : articles R5123-9 à R5123-11
Conditions, montant et durée - Arrêté du 26 mai 2004 relatif aux conventions d’allocations temporaires dégressives
Conditions et montant - Arrêté du 19 septembre 2005 relatif aux conventions d’allocations temporaires dégressives
Plafond de l’aide de l’État - Circulaire du 22 décembre 2005 relative aux conventions d’allocation temporaire dégressive
Licenciement économique : qu’est-ce que l’allocation temporaire dégressive (ATD) ?
Quand une entreprise effectue des licenciements économiques, une convention d’allocation temporaire dégressive peut être conclue entre l’entreprise et l’État. Elle permet au salarié reclassé dans une autre entreprise à un poste moins bien rémunéré de limiter cette perte de salaire.
Quelles sont les conditions pour en bénéficier ? Comment cette allocation est-elle financée ? Pendant combien de temps peut-elle être versée ?
Nous faisons le point sur la réglementation.
L’ATD est une allocation versée conjointement par l’État et l’entreprise à un salarié licencié pour motif économique. Elle sert à compenser la différence de rémunération du salarié licencié et reclassé dans une autre entreprise à un poste moins bien rémunéré.
Dans les entreprises concernées par un plan de sauvegarde de l’emploi, l’allocation est une des mesures de ce plan.
- Convention d’allocations temporaires dégressives – Bulletin d’adhésion du salarié
Une convention est signée entre l’État et l’entreprise.
Le salarié qui souhaite en bénéficier doit y adhérer en remplissant le bulletin d’adhésion :
Le bulletin est à adresser à l’unité départementale de la Dreets .
Il n’y a pas de condition d’ancienneté.
Pour bénéficier de l’ATD, le salarié ayant adhéré à la convention devra se reclasser dans un délai maximum d’1 an à compter de la notification du licenciement.
Le poste de reclassement doit être dans une autre entreprise, en CDI , en CDD ou en contrat de travail temporaire d’au moins 6 mois.
Cette allocation servant à compenser une perte de revenu liée à un reclassement, le nouvel emploi doit entrainer une perte de rémunération.
Le montant de l’ATD est calculé forfaitairement. Son montant est évalué au moment de l’embauche dans le nouvel emploi.
Il prend en compte la différence entre l’ancien salaire net moyen perçu au cours des 12 derniers mois et le salaire net du poste de reclassement dans la nouvelle entreprise.
Le financement de l’ATD est assuré conjointement par l’entreprise et l’État. La participation de l’EÉtat ne peut dépasser un montant de 200 € par mois et par bénéficiaire.
Toutefois, si l’entreprise n’est pas en mesure de verser l’ATD, l’État prend en charge seul le versement de l’ATD. Le montant de cette participation peut alors être porté à 300 € .
Le versement de l’ATD, ainsi que la participation de l’État, sont limités à 2 ans.
- Code du travail : article L5123-2
Conditions - Code du travail : articles R5123-9 à R5123-11
Conditions, montant et durée - Arrêté du 26 mai 2004 relatif aux conventions d’allocations temporaires dégressives
Conditions et montant - Arrêté du 19 septembre 2005 relatif aux conventions d’allocations temporaires dégressives
Plafond de l’aide de l’État - Circulaire du 22 décembre 2005 relative aux conventions d’allocation temporaire dégressive
Toutes les informations concernant la fourniture d’eau potable par Thonon Agglomération sur ce lien
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